
Charles, engagé en Ile-de-France
La rencontre avec Pour un Sourire d’Enfant
En 2016, Charles découvre Pour un Sourire d’Enfant grâce au film-documentaire « Les Pépites » de Xavier de Lauzanne. « J’ai été le voir au cinéma avec mes deux enfants aînés et ça a été une véritable déflagration ! » se souvient-il. « Nous avons tous été très marqués et ma fille a été complètement bouleversée par le film. Je lui ai proposé de m’engager comme bénévole pour cette association afin qu’elle arrête de pleurer ».
Un mail envoyé et quelques échanges téléphoniques ont suffi à convaincre Charles d’organiser une soirée de Tournée en présence de la fondatrice Marie-France des Pallières quelques mois plus tard. « Cela faisait quelques années que je cherchais une association pour faire du bénévolat. Alors quand j’ai connu PSE, je savais que j’étais prêt à m’engager » explique-t-il. « J’ai toujours été sensible à la cause des enfants et l’histoire de Christian et Marie-France m’a bouleversé. J’ai depuis rencontré d’autres bénévoles qui sont formidables. Je suis très impressionné par tous ces bénévoles, qui ont parfois des écarts d’âge incroyables : on côtoie de jeunes adultes et des arrière grands parents mais tous ont une énergie incroyable et ne comptent pas leur temps. J’ai aussi vite senti que l’association était bien gérée, ce qui pour moi était fondamental ».
Un engagement qui fait du bien
Aujourd’hui, donner de son temps pour PSE et mener des actions de collecte est devenu essentiel pour Charles. « Le bénévolat c’est surtout le sentiment d’être utile, de faire du bien et d’apporter sa pierre à l’édifice. On voit souvent le bénévolat comme quelque chose qui prend du temps, mais chacun est libre d’y consacrer le temps qu’il peut. Bien sûr, ce n’est pas toujours simple car on a des vies occupées mais on fait justement en fonction du temps qu’on peut avoir. Aujourd’hui, pour moi, le bénévolat est complètement intégré dans mon équilibre de vie » conclut-il.
Agir ici et avoir un impact là-bas, c’est possible !
Chaque geste compte, peu importe sa taille, et fait une réelle différence dans la vie des enfants cambodgiens. Chacun peut entreprendre une action, ici, en France, pour aider encore plus d'enfants à sortir de la misère.